Cette reprise du travail a été décidée par le Comité pour ne pas envenimer davantage le climat social et pour éviter que le mouvement des paramédicaux soit qualifié de politique, explique un membre de ce Comité des revendications. Il y eut ces rumeurs persistantes de « coups d’État » et ces « arrestations d’Ambohijanaka ». Mais il y eut aussi ces « attentats » à la bombe artisanale contre des stations services.

Les paramédicaux soulignent cependant qu’ils n’abandonnent pas mais continuent de réclamer leurs droits. Les revendications demeurent telles qu’elles sont, apprend-on et le Comité observe une veille active.

par Valis

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