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Le patriote | Côte d'Ivoire | 10/05/2011 | Lire l'article original
L'objectif de sa visite en terre ivoirienne est, selon lui, d'identifier les priorités immédiates, mais également de définir un plan stratégique pour le développement et la réhabilitation des unités de soins. « Nous sommes venus pour analyser les conséquences sanitaires de la crise postélectorale. Nous étions là avant et pendant la crise. Nous seront là après la crise », a-t-il indiqué. La Côte d'Ivoire a noté le ministre de la Santé, compte sur l'OMS pour l'appui technique et la mobilisation des ressources. La crise postélectoral a-t-il reconnu a impacté négativement sur le système sanitaire. « Nous avons subi des pillages, nous avons perdu des stocks de médicaments. Même nos trois centres hospitaliers universitaires, qui sont des centres de références ont besoin d'être réhabilités », a-t-il commenté. Si la crise de septembre 2002 a été durement sentie par les populations des zones centre, nord et ouest, celle de novembre 2010, a indiqué Pr Anongba Simplice, directeur général de la Santé a été plus préjudiciable aux régions de l'ouest, notamment le moyen Cavally et les Montagnes et du sud (Abidjan et le sud ouest (San Pedro). La crise a noté le Pr Anongba a également eu pour conséquence la résurgence de pathologies dont la lèpre, le pian, la tuberculose, la bilharziose, la fièvre jaune et la poliomyélite et le développement de pathologie émergentes. Notamment, l'ulcère de Buruli, les épidémies de rougeole, de choléra et de méningite.
Dao Maïmouna
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