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Midi Madagasikara | Madagascar | 20/10/2011 | Lire l'article original
Tableau comparatif. Un tableau comparatif, faisant d’une part, ressortir un établissement scolaire qui pratique le lavage de mains, en l’occurrence l’EPP d’Ampidiamby et de l’autre un établissement qui ne pratique pas le lavage des mains. Ce tableau démontre clairement que pour le premier établissement scolaire, le taux d’absence pour cause de maladies diarrhéiques, a sensiblement baissé, nous révèle la directrice d’école. Paradoxalement au deuxième établissement scolaire dont le taux d’absence reste à peu près le même.
Autres faits. Autres faits également constatés, en aval que bon nombre d’élèves, en particulier, ceux des petites sections adoptent déjà un réflexe naturel en ce qui concerne le lavage des mains aux moments critiques. Au point pour ces chérubins d’être des farouches défenseurs du principe du lavage de mains dès que leurs parents adoptent une attitude contraire. Une situation également observée dans le fokontany d’Ampidiamby, si l’on s’en réfère à un témoignage d’une lavandière mère de famille qui a dit que chaque fois qu’elle rentre chez elle le soir, cette mère de famille n’oublie pas d’emmener avec elle, un petit morceau de savon pour sa petite fille. Autrement c’est le désaccord dans le foyer, dit-elle. Toujours cette même mère de famille qui se dit être profondément convaincue du bien-fondé de la pratique du lavage des mains avec du savon. Car elle a pu se rendre compte que l’argent pur l’achat des médicaments a régressé. Ainsi l’argent ainsi épargné a permis à cette mère de famille d’améliorer les conditions de vie de son ménage.
Reportage réalisé par ANASTASE
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