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L'express de Madagascar | Madagascar | 31/01/2012 | Lire l'article original
Mais la lutte contre le principal vecteur de la peste, le rat, reste un défi. Les quelques dizaines de brigades anti-rats créées au sein du ministère de la Santé en partenariat avec l'Institut pasteur de Madagascar ne pourraient pas éliminer les rats.
Nouveau médicament
Et l'inexistence de dépôt d'ordures notamment dans les communes rurales handicapent ces actions préconisées par le ministère de la Santé.
Le nombre de centres antirabiques permettant la prise en charge d’un patient potentiellement exposé au virus de la rage, connaît également une diminution. « Il ne reste plus, depuis deux ans, qu'une trentaine de centres antirabiques dans la Grande île contre les 130 existants dans les chefs lieux de districts suite à la recommandation de l'OMS de remplacer l'antidote contre la rage. Ce nouveau médicament coûte cher. Il faut ainsi adopter un nouveau programme », a confié Lamine Arthur Rakotonjanabelo, chargé de programme de lutte contre les maladies au sein de l'OMS. À l'entendre, les centres antirabiques ont été implantés dans les localités les plus menacées.
Ce sont les médecins qui vont ainsi se déplacer dans les autres localités en cas de suspicion de rage pour traiter les patients. « Il faut mettre en place un réseau pour renforcer cette lutte contre la rage », conseille Lamine Arthur Rakotonjanabelo.
Vonjy Radasimalala
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