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L'express de Madagascar | Madagascar | 09/06/2012 | Lire l'article original
Mais il n'y a pas que ce centre qui souffre de cette rupture d'équipement pour lutter contre la transmission du VIH/SIDA. « Nous n'avons pas reçu le réactif pour dépister le SIDA depuis plus d'un mois. Nous avons également envisagé de prendre en charge les PVVIH, mais à cause de cette rupture, le projet n'est pas encore concrétisé », a relaté Hervé Rabeson, chef de service médical au sein du Bureau municipal d'hygiène d'Antananarivo.
Les premiers responsables se rejettent mutuellement la faute, en le mettant sur le dos de SALAMA. « Nous sommes mandatés pour effectuer l'achat des ARV et d'autres matériels pour lutter contre le SIDA. Ils sont déjà à Madagascar, mais attendent le dédouanement par l'État. Cette rupture partielle est due également au problème de quantification du nombre des médicaments utiles et le délai de commande. Nous n'avons reçu la commande qu'au mois de mai. Pourtant, il faut attendre deux à trois mois avant qu'ils arrivent à Madagascar », a expliqué Tahina Andrianjafy, directeur général de Salama.
Vonjy Radasimalala
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