Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



ban_jmp_malacur - 25 avril 2024 - Journée mondiale de lutte contre le paludisme

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

Revue de presse de Santé tropicale

Trier les actualités par :

Santé de la mère : l'ablation de l'utérus facultative

L'express de Madagascar | Madagascar | 21/07/2012 | Lire l'article original

Après une décennie d'application à l'étranger, le colloque malgache des gynécologues obstétriciens a décidé de présenter l'innoportunité de l'ablation de l'utérus comme une nouveauté, hier au motel Anosy. Le thème s'intitulait « Les nouveautés dans la pratique de la gynécologie obstétrique à Madagascar ».

« Suite à une hémorragie, l'utérus devient mou. L'ablation est dans ce cas, obligatoire. Mais le poids et le volume de l'enfant à l'intérieur de l'utérus, peuvent provoquer également cette ablation. Certaines mères sont très fières quand leur bébé pèse quatre kilos dans le ventre. Ce poids fragilise pourtant l'utérus » a expliqué Hery Andria­nampanalinarivo, professeur agrégé en gynécologie obstétrique.

Compétence

Mais cette angoisse d'ablation pourrait être dépassée. « Le médecin n'a pas besoin de matériel de haute technologie dans cette méthode. Il suffit d'avoir de la compétence » ajoute le professeur. Aussi pour la première fois, l'équipement médical ne constitue pas une grande contrainte dans le domaine de la médecine. « Nous ne sommes que 64 spécialistes en gynécologie obstétrique à Madagascar. Le défi consiste aujourd'hui à vulgariser la pratique. Car il n'y a que quelques centres hospitaliers universitaires (CHU) qui commencent à pratiquer cette nouveauté, dont l'hôpital Joseph Raseta Befelatanana, le CHU de Mahajanga et de Toamasina » relate toujours Hery Andrianampanalinarivo.

La Grande île entame ainsi timidement l'application de cette méthode. « À l'HJRB, sur dix cas compliqués, cinq femmes n'ont pas subi d'ablation cette année » avance avec fierté le professeur agrégé. C'est un grand soulagement pour une nouvelle maman. « L'ablation de l'utérus affecte tout d'abord la psychologie de la femme. Mettez vous à la place d'une jeune maman de 30 ans qui ne pourrait plus avoir un enfant. Imaginez aussi les réactions de toute sa famille, devant une telle situation. Car pour les Malgaches, une mère sert avant tout à donner des héritiers » a réagi Nantenaina Andriahoni­malala, une mère de famille qui venait de faire une radiologie à l'Institut Médical de Madagascar à Anosy.

Lire l'article original

Retour

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions

En septembre 2024 :

img_produit

img_produit

Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

img_produit

encart_diam_biogaran
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays

encart_diam_aldounion
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !