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Midi Madagasikara | Madagascar | 13/09/2012 | Lire l'article original
Contraception. A Madagascar, le ministère de la Santé Publique a mis en place une stratégie nationale sur le planning familial en 2003. Cela consiste à augmenter le taux de prévalence contraceptive à 29,2% pour les méthodes modernes, afin de réduire considérablement l’indice synthétique de fécondité de 6 enfants par femme en 1997, à 5,2 enfants par femme en 2003 – 2004 (Source EDS III) pour arriver à 4,8 enfants par femme en 2008 – 2009 (Source : EDS IV). L’on constate néanmoins que le besoin non satisfait en planning familial reste important avec 19% en 2009 (source : EDS IV 2008 – 2009). Madagascar a connu une croissance considérable de son taux de prévalence contraceptive durant ces 10 dernières années. Les statistiques montrent que ce TPC est passé de 7% à 29,2% en 2008 (Source : EDS). Selon l’EDS IV, 94% des femmes connaissent au moins une méthode contraceptive. Plusieurs types de contraceptifs existent : les contraceptifs barrières (condoms pour homme ou pour femme, ou encore les spermicides), les pilules, qui sont des contraceptifs hormonaux (progestatifs et oeustroprogestatifs), les injectables qui ont une efficacité allant de 2 à 3 mois, et qui sont de loin les plus utilisés, les implants cutanés qui ont une durée d’efficacité de 2 à 5 ans et le DIU qui a une durée d’efficacité allant jusqu’à 12 ans. Selon les statistiques la méthode injectable est de loin la plus utilisée avec plus de 65% des utilisatrices, alors que l’utilisation du DIU est inférieure à 7% (source : EPM 2010).
Anjara Rasoanaivo
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