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Le congolais | Congo-Kinshasa | 06/10/2012 | Lire l'article original
La Marsavco qui a toujours porté une attention particulière en tout ce qui est du social et surtout dans le domaine de recherche pharmaceutique, a exposé quelques affiches à l’attention des participants.
Elle avait pris part aux travaux du deuxième congrès qui s’étaient déroulés, il y a trois ans à Kinshasa et actuellement encore, la Marsavco a marqué de sa présence les travaux.
Abordés par la presse locale, les participants au troisième congrès des pharmaciens ont exprimé leur satisfaction de voir une industrie comme la MARSAVCO s’intéresser à tout ce que font les pharmaciens et cela, pour le grand bien de la population congolaise.
Le professeur Mvumbi Lelo, président national sortant de l’Ordre des pharmaciens, a adressé ses remerciements au chef de l’Etat pour avoir inscrit son septennat dans le cadre de la Révolution de la modernité.
Il a émis le vœu de voir le secteur pharmaceutique faire face au programme de la Révolution de la modernité pour le plus grand bénéfice de la population du pays.
Le 3ème congrès de l’Ordre des pharmaciens a connu la participation des délégués de toutes les provinces et pour la majeure partie les délégués de la ville de Kinshasa.
Les affiches du savon « Mateja », savon dermatologique dont les analyses ont été réalisées aux laboratoires des Cliniques universitaires de Kinshasa, ont été exposées dans les halls de la salle de conférences du ministère des Affaires étrangères.
Auparavant, le représentant du ministre de la Santé publique avait fait savoir que pour le gouvernement de la République, le médicament dont les pharmaciens sont spécialistes et- pour lequel ils sont un ordre professionnel est un maillon essentiel du développement du système de santé.
Il a reconnu que le pays connaît de problèmes de définition des besoins en médicaments, de fragmentation des approvisionnements et de distribution, de disponibilité des médicaments essentiels et intrants spécifiques dans les formations sanitaires.
Il a dénoncé la cause de ces difficultés qui est, entre autres, les multiples taxes sur le médicament considéré comme objet commercial plutôt que social.
Il a également déploré la mauvaise qualité de produit et le manque d’un système rigoureux de contrôle de qualité ainsi que l’insuffisance de renforcement des capacités de prestataires.
LP
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