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L'express de Madagascar | Madagascar | 16/03/2013 | Lire l'article original
Pendant plus de cinq ans qu’a duré le projet, des efforts ont été menés dans la lutte contre ce fléau. 65 médecins référents ont été formés. Ils connaissent l'état de chacun de leur patient et leur donnent un médicament périodique. 47 centres de référence des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) ont été également créés. À cela s'ajoutent l'orientation et les conseils après un dépistage.
Même si le taux de prévalence est maintenu à 0,4%, selon le ministère de la Santé publique (Minsanp), l'estimation effectuée par l'ONU/Sida évoque un chiffre gonflé.
Moins de 1%
Selon cette branche onusienne, le nombre des PVVIH est estimé à 40 000 cette année, alors que les recensés étaient au nombre de 800 à 900 en 2011. La direction du programme de lutte contre le VIH/Sida du Minsanp s'inquiète de la situation, d'autant plus que le programme dépend en majeure partie des partenaires et des bailleurs de fonds.
« Parfois, il y a une rupture des médicaments parce que, malgré les efforts fournis par le ministère, il faut attendre la commande faite par nos partenaires. Concernant les perdus de vue, il faut les retrouver, insister sur la sensibilisation pour le dépistage, afin que tout un chacun connaisse son comportement, et évite la propagation du fléau », affirme le directeur du programme, le docteur Jacky Ranaivo Rahamefy. Celui-ci s'accroche toutefois à son défi qui est de maintenir le taux de prévalence du VIH/Sida à moins de 1%. Il promet ainsi un post-projet après cette fin de partenariat avec la Jica.
Michella Raharisoa
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