Pour la bonne tenue de ces assises, plusieurs participants ont été invités, parmi lesquels, des scientifiques, des chercheurs, des étudiants, des représentants des organismes nationaux et internationaux, des associations, des médecins et bien d’autres partenaires. Le Secrétaire général de cette organisation, M. Anselme Mubeneshayi Kananga, a également souligné qu’en dehors de ces participants, il y aura également d’autres collaborateurs et experts venant des pays tels que la Belgique, la France ainsi que de la Suisse. Ce thème, a-t-il indiqué, permettra aux participants à ce 1er Congrès international de débattre ouvertement sur l’approche palliative.

Par ailleurs, Mubeneshayi a souligné que ces échanges permettront, à coup sûr, aux participants, aux bénéficiaires ainsi qu’à la communauté internationale de trouver des réponses idoines, aux différentes questions que se pose le monde, sur entre autres : Pourquoi l’accès aux soins palliatifs est-il fondamental ? Où en sommes-nous ? Où allons-nous ? Qu’est-ce qui est déjà fait de par le monde ? Quel est le projet politique, social et éducatif concernant le développement des soins palliatifs en République Démocratique du Congo ? Ces diverses interrogations sont essentielles, a-t-il poursuivi, pour tout acteur impliqué dans les soins palliatifs et l’accompagnement des malades. Mais, elles sont aussi essentielles pour tout professionnel de santé. Ainsi, pendant 4 jours, ces congressistes vont tour à tour discuter sur des préalables, pour rendre applicable les soins palliatifs. Des thématiques principales seront également exposées, en plénière et dans les ateliers, notamment le traitement de la douleur, gériatrie. En fin de compte, ils finiront par énoncer clairement un projet sur ce sujet car, il est nécessaire pour que les acteurs de terrain, engagés dans le mouvement des soins palliatifs puissent s’engager ou continuer à investir. C’est aussi une assurance d’une réflexion qui dépasse largement le domaine habituel d’intervention. « Les soins palliatifs et l’accompagnement des malades en fin de vie peuvent être considérés comme une réfraction au travers de laquelle nous pouvons regarder le futur de notre système de santé », a-t-il conclu.

La Pros.

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