D’entrée de jeu, il a expliqué le contexte du projet de partenariat qui est financé par le British Council sous le programme « Delphe » (Development and Partnership in Higher Education).

Sous ce programme, les chercheurs de l’Université de Kinshasa œuvrant dans le secteur de la santé effectuent des visites de recherches à l’Université de Warwick. Ceux d’Angleterre font de même en termes de collaboration dans le domaine de la santé de la reproduction.

Les inégalités régionales en termes de santé maternelle et infantile demeurent encore une préoccupation en RDC. C’est dans ce contexte que le projet prévoit de renforcer les capacités de recherches dans ce domaine avec 36 volets dont la recherche, la publication et le training.

Il convient de préciser que ce projet, initialement prévu pour 3 ans, est arrivé à terme, en principe le 31 mars 2013. En dépit de ce délai, Dr Kandala n’exclut pas la possibilité de prolongation au regard de l’intérêt suscité entre les deux parties. Etant donné que plusieurs données d’enquêtes sur le VIh/Sida et bien d’autres pandémies dont les données récoltées à travers le pays ne sont pas encore vulgarisées.

Les données de Warwick dans la médecine spatiale permettront aux étudiants congolais d’utiliser les instruments (techniques) d’appoint dans l’interprétation des résultats.

A travers ce projet, il y a un partenariat qui s’est consolidé entre l’Unikin et l’Université de Wiits en Afrique du Sud. A cet effet, deux chercheurs congolais séjournent actuellement en Afrique du Sud avec le sponsoring de ce projet pour renforcer les capacités.

Au cours des échanges, l’assistance a apprécié l’intervention du professeur Patrick Kayembe Kalambay, chef du département d’Epidémiologie et de la Biostatistique qui a pris une part active à ses assises. Il a loué les avantages du partenariat entre les deux institutions. Ce, avant de procéder à la restitution du voyage d’Angleterre dont il a été bénéficiaire dans le cadre de ce partenariat.

Écrit par RSK

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