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La prospérité | Congo-Kinshasa | 30/05/2013 | Lire l'article original
Ce qui explique le souci de la haute Direction qui veut voir cette expérience du Canada être partagée. A cette occasion, les femmes cadres et agents de la DGI ont toutes manifesté leur intérêt particulier à veiller et surtout à œuvrer, par la prévention, comme stratégie de lutte contre cette pathologie dangereuse.
Le 14ème Meeting International sur le cancer Gynécologique a vécu à Vancouver, au Canada, du 13 au 16 octobre 2012. Huit mois après, le Dr Claire Ebenga a, par une projection en image, démontré aux femmes de la Direction Générale des Impôts les méfaits de cette maladie, les signaux d’alarme et les facteurs de risque, les avancées technologiques et la stratégie de lutte. Le Dr a également évoqué le cadre administratif, l’importance de la mission, le déroulement des travaux et le bénéfice de la mission pour la santé des agents. Selon les avancées technologiques, a dit Dr Ebenga, il est souvent constater des tumeurs malignes qui surviennent chez la femme et qui sont particulièrement localisées dans les organes génitaux, notamment la vulve, le vagin, l’utérus, les ovaires incluant les trompes de Fallope. Ici, elle a évoqué les signes et les symptômes qui constituent les facteurs de risque. Il s’agit de l’alimentation riche en protéines animales et riche en graisse, l’obésité, le facteur héréditaire et les stresses. Pour l’éviter, Dr Ebenga recommande aux femmes d’avoir une alimentation saine, d’éviter le colorant, beaucoup d’accouchement, le traumatisme des organes génitaux, de chasser les stresses et l’abus de l’alcool ainsi que le tabac. Elle a, par ailleurs, fait un plaidoyer auprès de la hiérarchie, afin que soit lancée la campagne de prévention et de dépistage.
Quid du cancer de l’ovaire
Le cancer de l'ovaire est enfoui dans le bassin, car les ovaires sont difficiles à examiner. Ainsi, les cancers qui les affectent sont souvent découverts tardivement. Si des améliorations thérapeutiques sont à prévoir, le pronostic reste étroitement lié à la précocité de la prise en charge.
En outre, les patientes ayant présenté auparavant une affection à papillomavirus humain ont une propension à faire un cancer du vagin. Il en est de même pour celles ayant présenté un cancer du col de l\'utérus ou de la vulve. L\'exposition au diéthylstilbestrol durant la grossesse favorise l\'apparition du cancer du vagin. Autrement dit, une enfant imbibée par cette substance durant la grossesse de sa maman, a tendance, une fois adulte, à présenter un cancer du vagin.
Les facteurs de risque
Ici, l’on considère que près de 90 % des décès sont liés au cancer du col de l’utérus qui, du reste, pourrait être évité par un dépistage régulier. En effet, ce type de cancer se développe progressivement, à partir de lésions dites précancéreuses. Certains sont causés par différents types de virus de la famille des papillomavirus humain (HPV), et en particulier par celui de type 16 (HPV 16). Ces facteurs de risque sont le fait de devenir active sexuellement à un jeune âge et d\'avoir de nombreux partenaires sexuels. Ce qui multiplie les risques d\'infections par les papillomavirus les plus virulents et augmente donc le risque de cancer du col de l\'utérus ; le tabagisme actif 15 cigarettes par jour ou passif et l\'utilisation sur le long terme de contraceptifs oraux pendant 5 ans; certaines infections sexuellement transmissibles, notamment la Chlamydia trachomatis ou Herpes simplex virus de type 2 (herpès génital).
La Pros.
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