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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 15/06/2013 | Lire l'article original
«Dans 80% des cas, ces infections sont induites par des pratiques hospitalières. Sur le plan clinique, on peut suspecter une infection nosocomiale quand on a traité un malade pour une infection donnée, qu’on arrive à la date limite de la guérison et que l’infection continue», a-t-il expliqué.
Selon ce médecin, les infections nosocomiales exigent l’utilisation d’antibiotiques «sensibles» pour les combattre.
Comme mesure de prévention, le Dr Amona prescrit aux praticiens un strict respect des mesures d’hygiène, notamment en portant des gants lors de l’administration de soins, ou en utilisant un antiseptique pour se nettoyer les mains.
«Un pratiquant ne doit pas aller à son service sans avoir dans sa poche cette substance avec laquelle on se badigeonne les mains, toutes les fois où on a été en contact avec les malades ou qu’on passe d’un malade à un autre», a-t-il insisté.
Ce spécialiste en maladies infectieuses et tropicales a prévenu qu’une fois que le malade attrape une infection lors de son séjour en milieu hospitalier, la maladie pour laquelle il était soigné au départ peut résister, même en cas d’un bon traitement.
D’où, toutes les dispositions doivent être prises en amont.
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