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Le quotidien | Sénégal | 18/11/2013 | Lire l'article original
Cette politique d’extension des centres de dialyse est sans doute la panacée, pour résorber l’immense gap entre l’offre et la demande. Par cette initiative, l’Etat permettra à des centaines d’insuffisants rénaux de faire leur dialyse convenablement et sans bourse délier. Aussi, ces malades pourront-ils éviter les longs déplacements vers Dakar et la psychose dans les centres privés de dialyse, exacerbée par des tarifs trop élevés, pour une maladie qui nécessite au moins, deux séances de dialyse par semaine.
Selon Awa Marie Coll Seck, son département est en train d’accélérer l’installation des machines dans les zones déjà choisies afin de créer les conditions d’une offre suffisante. Ce qui est assez salutaire et les malades ne demandent que ça !
Par ailleurs, le ministre de la Santé et de l’Action sociale a évoqué la loi sur la transplantation rénale, qui est toujours en gestation. Cette transplantation est aussi une alternative à la dialyse et cela devrait permettre aux hémodialysés d’arrêter définitivement les séances de dialyse, non seulement chèrement payées mais aussi trop risquées au Sénégal, à la lumière de ce qui se passe avec l’affaire du sang contaminé à l’aluminium.
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