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Radio Okapi | Congo-Kinshasa | 24/11/2013 | Lire l'article original
Jean Nkumwimba Kayembe, le chef de poste d’encadrement administratif de Kyondo, situé à 120 kilomètres à l’Ouest de Lubyai, chef lieu du territoire de Kabongo, parle d’une situation similaire dans son entité administrative. Selon lui, on enterre trois, quatre voir cinq enfants par jour.
Pour faire face à cette situation, les parents recourent à des solutions traditionnelles à base des plantes. Mais, cette pratique ne donne aucun résultat satisfaisant .
Certains infirmiers de l’hôpital général de référence de Kabongo indiquent que la pédiatrie est submergée. Les malades dorment à même le sol. Certains occupent le couloir suite à l’insuffisance des lits. Les infirmiers se disent être débordé par l’afflux de malades.
Ils déplorent le manque de sang pour prendre convenablement en charge les malades qui en ont besoin.
Le chef de porte d’encadrement de Kyondo dit connaitre la même situation dans son entité.
Pour sa part, le médecin chef de zone de santé s’est réservé à toute déclaration.
Le gouvernement a promis, en septembre dernier, de réduire d’un tiers, à l’horizon 2023, la prévalence de l’anémie chez les enfants ainsi que chez les femmes en âge de procréer.
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