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Fraternité matin | Côte d'Ivoire | 18/03/2014 | Lire l'article original
Pour la présidente de l’association, Tiémoko Oulaï Philomène, il s’agit de combler les lacunes des sages-femmes en matière de droit de l’homme et de communication envers les patientes pour garantir une maternité sans risque. Car, une enquête auprès de la population indique que les patientes se plaignent de la qualité de leur rapport avec celles-ci. C’est pourquoi, « le ministère de la Santé et la Lutte contre le Sida, le système des Nations unies et le Fonds Muskoka apportent leur soutien pour mesurer le manque de respect et abus des prestataires de soins dans les maternités », a-t-elle précisé.
Soucieuse du taux élevé des décès néonatals (614 décès sur 100.000 naissances vivantes), Joséphine Odera, directrice régionale de l’Onu-femmes, a rappelé le soutien de son institution afin de relever les défis du secteur. Notamment, à Abidjan et à Bouaké afin de rehausser les indicateurs des Omd 4 (réduire la mortalité infantile) et Omd 5 (améliorer la santé maternelle).
Quant à Kouassy Edith Clarisse, directrice adjoint de la santé, représentant Raymonde Goudou Coffie, elle a appelé les sages-femmes à appliquer les différentes résolutions de l’atelier. Car, « le droit à la vie comme à la santé est fondamental. Donc aucune femme au monde ne doit mourir en donnant la vie », a-t-elle martelé.
Hervé Adou
Stagiaire
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