Accès aux sites pays
BENIN
BURKINA FASO
CAMEROUN
CENTRAFRIQUE
CONGO
COTE D'IVOIRE
GABON
GUINEE
MADAGASCAR
MALI
R.D. CONGO
SENEGAL
TOGO
Le Faso | Burkina Faso | 01/04/2014 | Lire l'article original
Au Burkina Faso, aucun cas de cette maladie n’a été notifié jusqu’à ce jour. Cependant, l’information, la sensibilisation des populations et la surveillance épidémiologiques au niveau des structures de soins doivent être renforcées.
La maladie commence généralement par une forte fièvre, une diarrhée qui peut être sanglante (appelée “diarrhée rouge” en Afrique francophone) et des vomissements. Les céphalées, les hoquets, les nausées et les douleurs abdominales sont courantes. D’autres symptômes peuvent survenir : conjonctives injectées, dysphagie, symptômes hémorragiques.
La maladie ne peut être confirmée que par un examen de laboratoire car les signes sus cités sont communs à plusieurs maladies. Le taux létalité se situe entre 50 et 90%.
Il n’existe pas de vaccin ni de prophylaxie sur le plan individuel. Le traitement est donc symptomatique.
Les mesures de prévention, tant au niveau individuel que collectif, constituent donc des moyens efficaces de lutte contre cette affection. Devant tout cas suspect, il faut se référer au centre de santé le plus proche, éviter les contacts intimes avec les malades suspects sans moyens de protection, éviter de manipuler les corps des patients décédés pour lesquels la fièvre Ebola est suspectée.
La Direction de la communication et de la presse ministérielle / Ministère de la santé
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux