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ban_jmp_malacur - 25 avril 2024 - Journée mondiale de lutte contre le paludisme

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Revue de presse de Santé tropicale

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Palu : halte aux profiteurs

Cameroon tribune | Cameroun | 29/04/2014 | Lire l'article original

Le protocole de prise en charge rappelé lors d’une table-ronde organisée vendredi. Les différents chefs de district des hôpitaux du Littoral et agents de santé communautaires se sont retrouvés à Douala vendredi, pour assister à la table ronde organisée à l’occasion de la 7e journée mondiale de lutte contre le paludisme. Thème : « Investir dans l’avenir, vaincre le paludisme ». Echange présidé par la coordinatrice du programme du paludisme à la délégation de la santé pour le Littoral, le Dr. Esther Nwall.

Les points soulevés ont gravité autour de la prévention du paludisme, sa nouvelle prise en charge, la gestion des statistiques, les mesures d’éradication du mal, la prévention, l’utilisation des moustiquaires imprégnées...

Pour l’ensemble des responsables présents, il est important que le personnel de santé applique le nouveau protocole de traitement de paludisme grave. Pour cela, un diagnostic obligatoire de la maladie doit être effectué. « Ceux qui ne respecteront pas ces mesures seront traqués », a averti la coordinatrice. Pour le Dr. Esther Nwall et ses collègues, il est inadmissible de traiter le paludisme sans qu’un examen de laboratoire ne vienne confirmer le mal. L’autre constat établi indique que dans beaucoup de formations sanitaires, certains responsables retiennent les malades pour renflouer leur caisse. Des patients souffrant de simple palu sont le plus souvent internés. « Alors qu’il aurait fallu leur prescrire des comprimés ». Une attitude que le corps médical a qualifiée de criminelle. « Nous devons être conscients, nous avons une grande responsabilité », a indique le Dr. Nwall.

Pour ce qui est de la lutte contre les moustiques, le Dr. Ngamba a parlé de la nécessité de l’hygiène et de la propreté à faire autour des habitations. « Il faut détruire les nappes dans lesquelles les moustiques se développent, assainir l’environnement. Donc, désherber, lutter contre les eaux usées même dans nos hôpitaux, qui parfois sont des foyers à moustiques », a-t-il indiqué. Pour ce qui est des statistiques sur les malades de paludisme, il s’avère que certains responsables de formations gonflent souvent les chiffres…

Josy MAUGER

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