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Midi Madagasikara | Madagascar | 27/05/2014 | Lire l'article original
Cette découverte pourrait faire avancer plus rapidement vers le développement d’un vaccin contre les formes les plus graves du paludisme. La protéine en question a, en effet, à l’origine de la réduction des parasites chez un nombre conséquent de personnes dans les régions d’Afrique. Des essais sur des souris ont permis de constater que celles exposées à la PfSEA-1 dans un vaccin expérimental, ont observé la même tendance.
Les chercheurs ont utilisé des échantillons de sang d’enfants de deux ans, en Tanzanie. Ces échantillons ont permis, après des analyses génétiques et des tests, d’identifier la PfSEA-1, et par la même occasion, de démontrer que cette protéine stoppait effectivement les infections par les parasites responsables du paludisme, après leur entrée dans les cellules des globules rouges. Des souris ont alors été vaccinées avec cette nouvelle protéine et on a constaté une réduction des niveaux de parasites chez celles-ci.
Recueilllis par Hanitra R.
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