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District du Bas Sassandra : les infirmeries clandestines foisonnent

Fraternité matin | Côte d'Ivoire | 23/06/2014 | Lire l'article original

Quant à Boni Ernest de la région de Sassandra, il a reconnu que : « Nous sommes des représentants de l’Etat et l’Etat dit pour faire une infirmerie privée, il faut être autorisé. Auquel cas, l’activité devient illégale. » Les infirmeries privées clandestines sont présentent sur toutes l’étendue du territoire. Dans le district du Bas Sassandra, notamment dans les trois régions Nawa, Gboklé et San Pedro, ces structures qui exercent illégalement sont en nombre incalculable. Et cela, du fait du manque de centres de santé et donc de l’inaccessibilité des populations aux soins primaires.

Vendredi 20 juin dernier, à la salle de réunion du district sanitaire de San Pedro, où s’est tenue une rencontre entre les techniciens de la santé des départements des trois régions, le corps préfectoral et les élus des collectivités décentralisées (Mairie et Conseils régionaux), ont décidé de la fermeture des dites structures clandestines ou leur maintien en vue de les améliorer.

Le Préfet du département de Buyo, M. Djè Bi Achillea a expliqué que : « Il m’est revenu une fois, qu’il existait dans la zone de Buyo, beaucoup d’infirmeries privées qui exerçaient sans autorisation. Très en colère, j’ai demandé que toutes ces structures, qui la plupart sont dans les villages, soient fermées. Contre toute attente, c’est la population qui vient me voir pour me dire que si on ferme les infirmeries clandestines, qu’est- ce qu’elles vont devenir ? Etant donné qu’il n’y a pas de centre de santé à proximité. En attendant que l’Etat construise des centres de santé, laisse nous nous débrouiller », a-t-il rapporté à l’auditoire.

Quant à Boni Ernest de la région de Sassandra, il a reconnu que : « Nous sommes des représentants de l’Etat et l’Etat dit pour faire une infirmerie privée, il faut être autorisé. Auquel cas, l’activité devient illégale. »

A l’issue de cette rencontre, il ressort que, tant qu’il n’y aura pas de structures étatiques, les infirmeries clandestines continueront à s’installer. Or, si elles sont encadrées, suivies, leurs prestations s’amélioreront et cela profitera à la population, a conclu le Préfet du Buyo.

Martial Detchi

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