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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 25/06/2014 | Lire l'article original
Selon lui, ceux qui en sont affectés présentent des symptômes d’épilepsie avec des crises à répétition entraînant une perte de connaissance, indique la source. Laquelle fait remarquer que c’est une maladie grave qui, se transmettant par des insectes vivant le long des rivières, affecte gravement le système cérébral.
En vue de détecter le virus à la base de ce type rare d’épilepsie, l’équipe de chercheurs de l’Institut de médecine tropicale, poursuit provinceorientale.cd, a procédé au prélèvement de sang sur des malades pour analyse. C’est dans ce contexte qu’elle a proposé au gouverneur de la Province Orientale la création d’un Centre de recherche biomédicale à Kisangani pour des analyses approfondies.
Sensible au rapport des chercheurs, Jean Bamanisa Saïdi a exhorté ses interlocuteurs à approfondir les analyses médicales en vue d’identifier le virus à la base de cette maladie mortelle pour les enfants.
De lourdes peines pour des voleurs à mains armées
Par ailleurs, sur un autre registre, selon la même source, deux militaires et un civil ont été condamnés samedi 21 juin à des peines allant de 10 à 15 ans de servitude pénale principale pour vol à main armée et détention illégale d’armes et de munitions de guerre. Provinceorientale.cd rapporte que le tribunal militaire de la garnison de Kisangani/Tshopo, siégeant en matière répressive au premier degré, contraint aussi les condamnés à payer les frais d’instance fixés à 13 000 francs congolais (14 dollars américains) chacun.
Le tribunal militaire siégeait en chambre foraine dans la commue de Kabondo (Kisangani), théâtre, depuis plusieurs jours, de vols à main armée et de meurtres. Les deux militaires condamnés sont un sous-lieutenant et un adjudant-chef. Ils ont été arrêtés, de même que le civil, dans la nuit du 16 au 17 février derniers dans cette même commune où ils opéraient sur une moto. Avec une arme de guerre, ils avaient cambriolé une société de la place d’où ils ont emporté plus de 600 litres de gasoil et d’autres biens de valeur.
Lors de l’audience publique, le tribunal a conclu à la culpabilité des trois accusés dans cette affaire. Le civil, dénommé Manara Salumu, dit Salvator, portait l’arme. Il est le beau-frère du sous- lieutenant César Alunga Matuka. L’arme de guerre AK 47, la moto, un téléphone et un tuyau qui servaient à leurs opérations de vol à mains armées ont été saisis par le tribunal militaire.
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