« Diversification alimentaire et prévention des carences en fer », c’est sous ce thème que s’est tenu ce symposium organisé en collaboration avec la Société burkinabé de pédiatrie (SOBUPED), l’Association des sages – femmes du Burkina (ASBF) et le Réseau des professionnels de la santé (REPS). Devant un parterre de professionnels de la santé, le Directeur général de Nestlé Burkina, Giacomo Chiocca, a mentionné que, face à la difficulté de la prise en charge nutritionnelle des enfants, la capacité de Nestlé à innover reste un atout majeur pour assurer tous les jours une meilleure nutrition aux populations. Il a laissé entendre dans son mot introductif qu’il espère que cette tribune leur permettra de discuter de façon interactive sur la problématique de la diversification alimentaire. Il a ajouté que Nestlé pour sa part s’engagera toujours aux côtés des populations en vue de réduire la sous nutrition, en enrichissant toujours ses produits, notamment ceux destinés aux enfants.

Nestlé : un partenaire « solide et fidèle »

Prenant le relai du DG de Nestlé Burkina, le Pr Ludovic Kam a indiqué que Nestlé est pour la SOBUPED, un grand partenaire, solide, fidèle, avec qui il travaille énormément dans le cadre de la santé, notamment en ce qui concerne le volet nutrition. « Nestlé peut compter sur nous pour ce qui est de la défense de la cause de l’enfant », a signifié le président de la SOBUPED. Selon lui, c’est en Afrique en particulier que les enfants sont malnutris. « C’est un problème que nous devons prendre à cœur car une population bien nourrie suppose que les enfants sont bien nourris, entretenus, afin qu’ils grandissent dans de bonnes conditions. Cet objectif, à en croire le Pr Kam, peut être atteint avec l’appui de partenaires comme Nestlé à travers sa nouvelle gamme de produits, appelés Nestlé Cerelac Mil.

Le Dr Nagalo Kisito, pédiatre et membre de la SOBUPED, a pour sa part donné une communication sur le thème du jour. Il a rappelé quelques principes et conduites de la diversification alimentaire chez l’enfant avant d’évoquer la problématique de la carence en fer et la stratégie de contrôle de cette carence. Il a expliqué qu’entre 6 et 18 mois, les besoins alimentaires de l’enfant ne sont plus couverts par le seul lait maternel et qu’il faut aux mamans trouver des alternances à travers la bouillie et autres alimentations familiales. C’est là qu’interviendra M. Karim Tou de la société Nestlé, pour expliquer que c’est justement pour répondre à ces défis que Nestlé a complété sa gamme de céréales infantiles Cerelac avec le lancement de Cerelac Mil. « Ce nouveau produit, distribué au format de 50g, est fortifié en fer, zinc, vitamines A et C, ainsi qu’en probiotiques (Bifidus BL) et coute 250 FCFA» a ajouté M. Tou. Pour ceux qui se plaignent de la cherté du produit, M. Tou a indiqué qu’ils ont peut être raison, mais que c’est le prix à payer pour que la société Nestlé continue à mettre à la disposition des populations des produits de qualité.

Des échanges riches en contribution et questions

Les débats qui ont suivi les présentations ont été riches aussi bien en contribution qu’en questions. Le Pr Diarra Yé, vice-présidente de la SOBUPED, a joint sa voix à celle du Pr Ludovic Kam pour remercier Nestlé de son engagement dans la lutte contre la malnutrition au Burkina Faso. Un repas familial et une prestation d’artistes ont mis fin au symposium qui a permis aux acteurs de la santé de mieux connaître Cerelac Mil qu’on trouve dans les alimentations et les pharmacies.

Les céréales infantiles ont toujours été au cœur des préoccupations de Nestlé. A L’origine…une découverte : En 1867, Henri Neslté, qui était pharmacien, inventa les céréales infantiles lactées, afin de lutter contre la malnutrition infantile, alors très largement répandue en Europe. Aujourd’hui, Nestlé s’inscrit toujours dans cette tradition de pionnier de la nutrition infantile et continue de fournir des solutions nutritionnelles adaptées aux nourrissons reconnues par les professionnels de la santé à travers le monde.

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