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Radio Okapi | Congo-Kinshasa | 18/07/2014 | Lire l'article original
Il attribue la propagation de la peste bubonique au non respect des mesures préventives par les populations locales qui ne devaient pas toucher le cadavre d’une personne morte de cette peste.
«Tout est parti le 25 juin dernier, où trois personnes soufrant de la peste bubonique sont mortes dans l’aire de santé d’Ota, situé dans la zone de santé de Logo. Leurs proches, en manipulant les cadavres, se sont fait contaminer. Un jour après, une femme et une fille qui revenaient du lieu de deuil sont mortes de la peste pulmonaire dans l’aire de santé de Tikpa. Et leurs cadavres ont aussi été manipulés par les habitants de l’aire de santé de Djupayohi, leur village natal», explique le docteur Christophe Shako.
Il assure que la situation commence à se stabiliser grâce à des mesures rigoureuses de surveillance:
«Le centre de surveillance et de lutte contre la peste est descendu aussi sur terrain pour leur apporter l’appui dans la formation des relais communautaires pour le changement de comportement à risque ».
L’ONG MSF/Suisse a apporté un lot important de médicaments pour la prise en charge correcte de patients.
Pour freiner la propagation de la peste bubonique, cette ONG internationale fait diffuser des messages de sensibilisations à longueur des journées à travers les radios et les églises locales.
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