La vigilance est de mise d’autant que de nombreux bateaux arrivent des zones infectées (Nigeria, Sierra Leone et Liberia).

Le Premier ministre, Arthème Ahoomey-Zunu a rencontré lundi les responsables du PAL et du comité de gestion de la fièvre hémorragique.

‘Si le Port n’offre pas les conditions maximum de sécurité, si le personnel n’a pas le sentiment d’être protégé et que le dispositif ne répond pas aux normes, il sera difficile de continuer à travailler’, a souligné le chef du gouvernement.

Pour les autorités port et aéroport sont relativement facile à sécuriser. En revanche, le contrôle aux frontières terrestres s’avère beaucoup plus délicat.

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