Accès aux sites pays
BENIN
BURKINA FASO
CAMEROUN
CENTRAFRIQUE
CONGO
COTE D'IVOIRE
GABON
GUINEE
MADAGASCAR
MALI
R.D. CONGO
SENEGAL
TOGO
Radio Okapi | Congo-Kinshasa | 13/09/2014 | Lire l'article original
Parmi les stratégies de ce plan, il y a notamment la sensibilisation au niveau des quartiers par des crieurs et des églises. Pendant ce temps, les agents du Service d’hygiène des frontières continuent à recourir aux méthodes empiriques pour contrôler les réfugiés et autres étrangers qui arrivent à Zongo.
Cette politique est mise en place, en attendant l’arrivée sur place des thermomètres lasers promis par le gouvernement.
«Nous sensibilisons la population à ne pas manipuler les animaux trouvés décédés dans la forêt dont la chauve-souris, le singe, le chimpanzé et autres. De laver les mains avant le repas, de ne pas se saluer parce qu’on peut être contaminé par des secrétions naturelles», a indiqué Michel Siazo.
Le personnel de santé de Zongo a reçu mission d’examiner les gens qui débarquent dans le coin surtout s’ils font la fièvre. Ils les mettent de côté pour éviter d’éventuelles contaminations.
La maladie à virus Ebola reste toujours contenue dans le secteur de Djera, territoire de Boende dans la province de l’Equateur. De 65 cas de malades reçus depuis le début du mois d’août dernier, 35 décès sont enregistrés. C’est pour la 7è fois que la RDC connait cette épidémie depuis 1976.
Le ministre congolais de la Santé, Félix Kabange Numbi, se félicite de la décision de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) d’autoriser l’utilisation des «sérums des convalescents» pour le traitement contre l’épidémie d’Ebola. Il affirme que ce traitement avait déjà été expérimenté en 1995 en RDC et avait permis de soigner des malades atteints du virus d’Ebola.
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux