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Le patriote | Côte d'Ivoire | 25/12/2006 | Lire l'article original
Ce thème a fait l’objet d’un panel. Dr Memin a relevé que dans les 4,7 % du taux de prévalence en Côte d’Ivoire, le taux de contamination chez les femmes est de 6,9 %. « Cela est grave », a-t-elle déploré. Elle a signifié que l’objectif de son département et des entreprises, est de réduire la mortalité et morbidité liées au VIH. « (…) Il nous faut dépister le maximum de femmes. Et lutter contre la stigmatisation des femmes infectées », a-t-elle recommandé. Avant d’ajouter que la femme de façon naturelle est très vulnérable. La sous-directrice de la mobilisation sociale au ministère de la lutte contre le SIDA, Dr Evlyne Ahimon, pour sa part, a expliqué que la « stagnation des spermes dans l’appareil reproducteur, la fragilité de la muqueuse vaginale, son à la base de la vulnérabilité de la femme. A cela s’ajoute les pratiques socioculturelles liées au mariage : le lévirat et le sororat ? En tout cas, en croire Dr Ahimon, la vulnérabilité de la femme est biologique.
Les Drs Pierre Alexandre (Fonds mondial), Pillah de Prosuma et Tiabasse de la SOTRA, ont invité les différentes entreprises à s’impliquer davantage dans la lutte contre la pandémie. Il est bon de noter que la CECI est constituée d’environ quatre cent entreprises.
Anzoumana Cissé
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