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Revue de presse de Santé tropicale

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Hôpital Yalgado-Ouédraogo : le service de réanimation et le centre de prélèvements fonctionnels

Sidwaya | Burkina Faso | 17/04/2016 | Lire l'article original

Le service de réanimation et le centre unique de prélèvements du Centre hospitalier universitaire Yalgado-Ouédraogo ont été inaugurés, le 14 avril 2016 à Ouagadougou. Le service de réanimation polyvalent et le centre unique de prélèvements du Centre Hospitalier Universitaire Yalgado-Ouédraogo (CHU-YO) sont désormais opérationnels. En effet, l’inauguration des deux infrastructures a eu lieu, le mercredi 14 avril 2016 à Ouagadougou.

Le service de réanimation a été réhabilité à hauteur de 100 millions de F CFA grâce à l’appui financier de l’ambassade de Chine/Taïwan. De l’avis du DG du CHU-YO, Dr Robert Sangaré, le département de réanimation bien qu’étant un service névralgique de l’hôpital rencontrait d’énormes difficultés. Le manque permanent d’oxygène et d’appareils pour remplacer certaines fonctions défaillantes des malades admis en réanimation sont quelques difficultés qu’il a mentionnées. Pour le premier responsable de l’hôpital, le manque d’oxygène était l’une des causes majeures des pertes en vies humaines. Car, selon ses dires, la réanimation constitue « la dernière chance » pour les malades « graves ». A l’en croire, les travaux de réhabilitation ont permis de doter le service d’une centrale d’air médical et d’une centrale d’oxygène. Ce bâtiment, a-t-il dit, va permettre de réduire considérablement les pertes en vies humaines et d’améliorer les prestations du service.
Pour l’ambassadeur de Chine/Taïwan au Burkina Faso, Shen Cheng-Hong, ce geste qui n’est pas le premier du genre vise à appuyer le CHU-YO afin qu’il puisse offrir une meilleure prise en charge des patients. Le secrétaire général du ministère de la Santé, Robert Kargougou a, quant à lui, salué cette initiative.

Le centre unique de prélèvements

Il s’est réjoui du fait qu’il contribuera à offrir des soins de qualité aux populations. Il a, par ailleurs, souhaité que cette coopération « fructueuse » avec la République de Chine/Taïwan puisse se poursuivre pour offrir des services de santé et de qualité aux malades.

Avant les laboratoires étaient dispersés au sein du CHU-Yalgado. Ce qui, selon les premiers responsables de la structure, ne permettait pas aux usagers de se retrouver et de bénéficier d’un traitement efficace et confidentiel. C’est fort de ce constat qu’ils ont jugé nécessaire de construire un centre unique destiné à tous les prélèvements pour offrir un certain nombre de commodités aux usagers tant pour les prélèvements que pour les paiements et les retraits.
Selon le chef de service des laboratoires, Pr Mamadou Sawadogo, le centre unique a été créé pour un triple objectif. « Le premier objectif est d’assurer la qualité de l’échantillon », a-t-il déclaré. A l’en croire, de la qualité de l’échantillon dépend la qualité de l’analyse. C’est pourquoi, il a souligné que les prélèvements doivent se faire de manière coordonnée tout en évitant que le patient ne se fasse piquer plusieurs fois. Il a indiqué que lorsque le patient est piqué plusieurs fois, il subit un traumatisme qui peut occasionner des troubles biologiques. « Le dernier objectif est d’assurer un meilleur traitement du patient grâce au diagnostic du clinicien », a-t-il argué. Pr Sawadogo a assuré que le service qui est déjà fonctionnel s’est doté de techniciens de qualité qui peuvent effectuer des prélèvements sur tous les types de patients. Selon lui, tout est mis en œuvre pour offrir les commodités nécessaires aux malades et assurer une meilleure qualité des résultats. Le centre de prélèvements unique a été financé par l’Etat burkinabè à hauteur de 150 millions F CFA par le biais du projet de construction et d’équipements Yalgado en partenariat avec la direction générale sous l’égide du ministère de la Santé.

Nadège YAMEOGO

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