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Notre Voie | Côte d'Ivoire | 17/05/2016 | Lire l'article original
« Si rien n’est fait pour notre intégration, le 28 mai, nous fermerons les salles d’entrée, d’intervention et d’hospitalisation des hôpitaux publics avec un service minimum. Et cela, pendant trois jours. Nous marcherons également sur la présidence de la République », a menacé Hubert Kpansaî, secrétaire général du secrétaire général du syndicat national des ex-déflatés de la Santé (Synades), samedi dernier, au cours d’une assemblée générale à Treichville.
Les délégués ont dénoncé les entraves faites à l’intégration des agents de santé déflatés en 1998 et redéployés dans les hôpitaux publics sans statut jusqu’à ce jour. « Un décret d’intégration a été pris fin 2015 par le chef de l’Etat, mais jamais appliqué par la ministre de la santé, Mme Raymonde Goudou Coffie qui nous a fait croire que notre dossier était en train d’être traité par le Premier ministre. C’est faux. Empêché, le ministre Abdourahame Cissé a demandé au directeur général du budget de recueillir nos préoccupations et de les lui remonter. Le Dg du budget, M. Traoré Seydou nous a expliqué que notre dossier technique n’a jamais été transmis à leur service pour qu’il soit pris en compte au budget de l’Etat de Côte d’Ivoire. M. Traoré a ajouté qu’il y a de l’argent mais s’ils n’ont pas reçu de dossier, ils ne sauraient à qui payer », a révélé Hubert Kpansaï, secrétaire général du Synades.
Didier Kéi
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