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L'Express | Maurice | 28/08/2016 | Lire l'article original
Le Virus du Papillome Humain (VPH), dont plusieurs sous-types sont responsables du cancer du col de l’utérus, est toujours transmis par l’homme à la femme. Dans 80 % des cas, le système immunitaire de la femme est si fort qu’il contrôle le virus qui reste alors dormant dans son organisme. Dans le pourcentage restant de femmes, seules 5 % développeront des lésions précancéreuses dans le col de l’utérus et si celles-ci ne sont pas diagnostiquées et traitées, elles tourneront à un cancer.
C’est ce qu’explique l’ancien coordonnateur national du programme de dépistage contre le cancer du col de l’utérus, le gynécologue Chandra Shekar Ramdaursingh. Étant partisan de cette vaccination qui protège les vaccinées à 80 %, il applaudit la campagne d’immunisation contre le VPH lancé la semaine dernière par le ministère de la Santé. Il rassure aussi les personnes qui s’émeuvent à propos du jeune âge des vaccinées et affirme que ces vaccins ont des effets secondaires minimes, comme n’importe quel autre vaccin. Pour une protection à 100 % contre le cancer du col de l’utérus, il recommande d’allier vaccination et frottis.
Marie-Annick Savripène
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