Accès aux sites pays
BENIN
BURKINA FASO
CAMEROUN
CENTRAFRIQUE
CONGO
COTE D'IVOIRE
GABON
GUINEE
MADAGASCAR
MALI
R.D. CONGO
SENEGAL
TOGO
L'express de Madagascar | Madagascar | 27/09/2016 | Lire l'article original
Le financement destiné à la promotion du planning familial en défaillance. Les interventions dépendent principalement de l’appui des bailleurs, à savoir l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) ou encore le Fonds des Nations-Unies pour la population (UNFPA). La participation du gouvernement malgache serait encore moindre, bien que des efforts aient été apportés.
Ce manque de financement limite les interventions qui devraient être apportées, pour répondre aux besoins en planning familial. « Les intervenants ont besoin de formations sur l’utilisation des méthodes de longue durée et la sensibilisation auprès des bénéficiaires devrait être renforcée, mais il n’y a pas assez de moyens. D’autre part, les “implants” deviennent une tendance, actuellement, alors que ça coûte cher. Un implant coûte 8 dollars si les autres méthodes coûtent 1 dollar », a soutenu Lalaina Razafinirinasoa, directeur de Programme du Marie Stopes à Madagascar. C’était, hier, lors de la célébration de la journée mondiale de la contraception, à Analakely. Les impacts des interventions auprès des cibles sont minces. Les habitants de la région d’Androy et d’Anosy, seraient les principales victimes.
M.R.
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux