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Destination Santé | France | 12/02/2007 | Lire l'article original
Comparés à la moyenne nationale, les 18-49 ans présentant une pathologie mentale sévère avaient un risque de mortalité cardiovasculaire augmenté de 322%, observent-ils. Une augmentation qui n’est plus que de 255% pour le risque d’infarctus. Quant aux patients de 50 ans à 75 ans, les augmentations observées ont été de 186% et 189% respectivement.
Plus encore semble-t-il que leur mauvaise hygiène de vie – sédentarité, tabagisme – c’est la prise prolongée de traitements lourds qui est mise en accusation par Osborn. Plus les doses d’antipsychotiques sont élevées, plus les menaces de maladie cardiovasculaire et d’infarctus sont aggravées. Un constat qui rappelle l’absolue nécessité d’un suivi précis de ces traitements. Mais également les effets indésirables de certains antipsychotiques, comme la prise de poids ou les risques d’hyperglycémie.
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