Accès aux sites pays
BENIN
BURKINA FASO
CAMEROUN
CENTRAFRIQUE
CONGO
COTE D'IVOIRE
GABON
GUINEE
MADAGASCAR
MALI
R.D. CONGO
SENEGAL
TOGO
L'Express | Maurice | 27/03/2007 | Lire l'article original
Le 19 février dernier, six élèves de l’école Notre-Dame-de-la-Paix, qui viennent d’être vaccinés, perdent connaissance. Ils récupèrent après avoir pris de l’eau glucosée. Le 22 février, trois autres, de l’école primaire Philippe-Rivalland, présentent les mêmes symptômes après le même vaccin.
Pour l’un d’entre eux, qui avait les bronches fragilisées, le problème a été plus sévère. Examiné par des préposés au Area Health Centre le plus proche, il a subi une radiographie. Fin février, une équipe médicale s’est rendue chez lui pour constater son état de santé. Il s’était alors rétabli.
Le père de l’enfant, qui se dit révolté, a voulu rencontrer le ministre de la Santé, Satish Faugoo, vendredi, mais en vain. Le parent s’est confié à deux hauts cadres de la Santé avant d’ébruiter l’affaire.
Après enquête, le ministère a interdit ces injections en attendant d’y voir plus clair. Sauf, qu’entre-temps, un autre enfant a présenté de sérieuses réactions après avoir été vacciné. D’ailleurs, il est encore hospitalisé. Les CT-Scan, l’Imagerie à résonance magnétique et d’autres examens ne révèlent rien d’anormal mais les médecins ont conclu à une “accidental nerve injury” à la suite du vaccin. Son père a, lui, fait une déposition à la police.
Jane L. O’Neill
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux