Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



ban_jmp_malacur - 25 avril 2024 - Journée mondiale de lutte contre le paludisme

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

Revue de presse de Santé tropicale

Trier les actualités par :

Journée mondiale du diabète - Inclusion « diabète et famille » au Sénégal : Les défis de la réduction des bilans, la subvention des médicaments et... la CMU

Sud Quotidien | Sénégal | 14/11/2019 | Lire l'article original

A l’instar de la communauté internationale, le Sénégal célébré, ce jeudi 14 novembre, la journée dédiée au diabète. Une maladie dont la prévalence est à 3,4% au Sénégal, au niveau de la population générale. Sous le thème de l’inclusion « Diabète et famille », les acteurs ont appelé à la réduction des bilans. Le président de l’Assad, Baye Oumar Guèye, revient dans ce dossier sur les difficultés dont font face les patients diabétiques mais aussi Sud quotidien est allé à la rencontre de diabétiques pour en savoir plus sur la maladie et comment ils vivent avec.

Aussi vous propose-t-il les difficultés dans la prise en charge du Diabète à Sédhiou où le taux de prévalence est de 2,1% avec une dominance de type 2, avec le Dr Seydou Nourou Seck chef du service des urgences de l’EPS1.

Immixtion dans la pénible vie de diabétiques

Elles sont très nombreuses, les personnes qui souffrent du diabète au Sénégal où le taux de prévalence est de 3,4% dans la population générale. Cependant l’acceptation de ladite maladie qui n’épargne aucune frange de la société se vit différemment d’une personne à une autre. Une rencontre avec quelques diabétiques nous a permis de le constater.

Amadou Tidiane Dieng, a découvert sa maladie au cours d’une mission où le contrôle du taux du sucre dans l’organisme était obligatoire pour être loger à l’hôtel de la place. « J’urinais la nuit très fréquemment voir jusqu’à cinq fois, mais je ne soupçonnais pas le diabète comme la cause. Après l’annonce de la maladie, l’acceptation s’est faite tout naturellement, ce qui n’était pas le cas pour ma famille », a-t-il fait savoir. Et de poursuivre : « une fois rentré à la maison, j’ai démarré le traitement. Au départ, j’étais à 2,60 grammes de taux de sucre, mais avec le régime, je me suis retrouvé à la prochaine consultation à 0,95 ».

Si M. Dieng a accepté sa maladie, cela n’a pas été de tout repos pour Assane Sylla. Pour ce dernier, il lui a fallu du temps pour en arriver là. « Les débuts étaient difficiles. A l’annonce de la maladie, je pensais que je n’aurais plus une vie normale, que je ne pourrais plus manger ce dont j’avais envie, ni encore être tout le temps avec mes amis. J’avais peur de découvrir un autre mode de vie. Mais, ma famille m’a aidé à surmonter mes peurs et à accepter ma maladie et, aujourd’hui, avec la grâce de Dieu, je vais bien ».

Malgré l’acceptation de la maladie, les personnes souffrant de diabètes nourrissent des inquiétudes, le régime alimentaire coûte cher, ainsi que les médicaments. M. Dieng confie : « il me faut 2500 F Cfa par jour pour bien dérouler mon régime. Ce qui n’est pas toujours évident. Il s’y ajoute le prix très élevé des médicaments ». Et M. Sylla de renchérir : « en plus des médicaments, il y a des bilans à faire. Même si tout semble aller bien, le médecin prescrit toujours des bilans pour déceler d’autres pathologies. Et si on ne dispose pas de prise en charge, il est très difficile de s’en sortir ».

Face à la difficulté, la subvention de l’Etat pourrait sonner comme un ouf de soulagement pour ces les diabétiques qui n’attendent que le coût des bilans soit revus à la baisse. En attendant que cela arrive, nos interlocuteurs soutiennent qu’il est possible de vivre bien avec la maladie, si l’on suit à la lettre les prescriptions du médecin.

Denise ZAROUR MEDANG

Lire l'article original

Retour

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions

En septembre 2024 :

img_produit

img_produit

Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

img_produit

encart_diam_biogaran
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays

encart_diam_aldounion
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !