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Revue de presse de Santé tropicale

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Sans les attaques, l'épidémie d'Ebola toucherait à sa fin

Radio France internationale | France | 14/12/2019 | Lire l'article original

L'épidémie d'Ebola prendra-t-elle un jour fin ? Ces dernières semaines, les autorités congolaises se sont montrées optimistes sur la possibilité d'une fin prochaine de l'épidémie, en décembre ou janvier. Mais avec l'attaque contre les équipes de la riposte à Biakato, dans la province de l'Ituri, la nuit du 27 au 28 novembre dernier, 34 cas ont été recensés ces deux dernières semaines dont dix à Mabalako au Nord-Kivu. Au regard de la situation, la coordination de la riposte ne se hasarde plus à des estimations.

Jean-Jacques Muyembe, le chef de la riposte, était pourtant sur le point de constater la fin de l'épidémie avant ce pic de nouveaux cas survenus après l'attaque de Biakato par des miliciens.

« N'eut été ces événements de la nuit du 27 au 28, nous étions presqu'à la fin de l'épidémie. Nous voyons déjà le bout du tunnel. Ces évènements sont comme un coup de poignard dans notre dos. Nous devons revoir nos estimations. »

Au total, ce sont cinq zones de santé sur les 29 jadis touchées dans les deux Kivus et l'Ituri qui enregistrent encore des cas. Dans les 24 autres, le professeur Muyembe n'exclut pas de faire déclarer la fin de l'épidémie et de retirer ses équipes.

« Il est possible que nous demandions à l'OMS de dire que les zones de santé qui ont fait plus de 42 jours sans cas d'Ebola, nous pouvons les déclarer libres, comme ça nous concentrons nos efforts à Biakato et Lwemba. »

Cette option, il l'envisage également pour des raisons financières : « Si nous ne faisons pas cela, beaucoup de gens vont rester dans la riposte presque sans travailler. Par exemple, ceux qui sont à Goma, ils font quoi maintenant ?

Lorsque nous disons que nous faisons déclaration partielle, ce sera la zone de santé qui va se charger de la surveillance, ce ne sont plus des équipes qui coûte cher qui vont suivre cette surveillance-là. »

Aujourd'hui, les agents de la riposte ont pu retourner à Biakato, notamment grâce au déploiement de 80 policiers et militaires supplémentaires, chargés notamment de les sécuriser au quotidien.

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