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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 11/03/2006 | Lire l'article original
Selon la source, la technique consiste à introduire dans le moignon, après une amputation, un implant d’ancrage auquel se fixe le membre artificiel. Une autre possibilité, relève-t-on, s’emploie à intégrer des récepteurs dans des fibres nerveuses du patient pour qu’il commande sa prothèse par la pensée. Dans quelques pays, l’on a déjà effectué un petit nombre de transplantations de la main qui est une méthode plutôt controversée obligeant le malade à prendre à vie un traitement anti rejet, indique-t-on.
Véron-Clément Kongo
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