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Fraternité matin | Côte d'Ivoire | 22/06/2021 | Lire l'article original
Être pour ou contre le don d'organes post-mortem est un choix qui nous engage, mais qui engage aussi nos proches. C'est pourquoi il est important de faire connaître sa position à sa famille. Le 22 juin, l'Agence de Biomédecine invite le grand public à exprimer son opinion.
A l'occasion de cette Journée nationale de réflexion, une campagne nationale invite chacun à exprimer sa position à ses proches.
Le prélèvement d'organes, faut le noter, n'est possible que dans des conditions rares. L'organe greffé (ou greffon) provient d'une personne décédée en état de mort encéphalique au sein d'un service de réanimation.
Ce type de décès est provoqué par l'arrêt définitif du fonctionnement du cerveau, le plus souvent, suite à un accident vasculaire cérébral ou à un traumatisme crânien. Cette situation représente à peine plus de 1 % des décès hospitaliers enregistrés en court séjour, événement rare qui fait du greffon un bien très précieux pour les patients en attente de greffe.
En Côte d'Ivoire, une équipe médicale ivoirienne a réalisé les 24 et 25 septembre 2012, les premières greffes de reins sur des patients ivoiriens. Le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara, avait saisi cette occasion pour exprimer sa fierté de voir se réaliser les greffes de reins en Côte d'Ivoire.
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