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L'Express | Maurice | 05/06/2007 | Lire l'article original
Autre problème, le texte de loi Human Tissue Bill, bien que voté il y a plus d’un an, n’est toujours pas en vigueur. Cette situation apporte son lot d’inconvénients. Les malades, qui auraient pu recevoir un don d’organes, sont contraints à des séances de dialyses. Bien que jusqu’ici, même sans la loi, cette transplantation se pratique dans un cadre bien restreint.
“C’est un grand inconvénient et il faut que le board prévu par cette loi soit constitué au plus vite”, soutient Bose Soonarane. Au ministère de la Santé, l’on avance que le board, instance de contrôle des dons d’organes, est en cours de constitution. Le dossier est actuellement au State Law Office.
Bose Soonarane souhaite que les malades soient mieux encadrés, tant au niveau de l’alimentation qu’au niveau médical. Les problèmes qu’il évoque ont déjà été soulevés avec un haut cadre du ministère de la Santé, l’année dernière.
Pour l’heure, il se dit satisfait qu’au moins leurs plaintes quant à l’état des appareils ont été entendues. Le ministère a acheté plusieurs nouveaux appareils de dialyse.
Jane L. O’neill
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