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Le pays | Burkina Faso | 13/06/2007 | Lire l'article original
L'un des objectifs de cette première réunion du genre est de fournir un cadre pour débattre et élaborer des politiques nationales d'intégration des activités du traitement à l'Ivermectine sous directives communautaires (TIDC) de l'onchocercose. Pour la directrice de APOC, la Nigériane Uche Veronica Amazigo, il est nécessaire que les pays dirigent eux-mêmes des programmes intégrés, définissent les mécanismes de financement de la lutte intégrée. Elle a fait savoir aux participants que les partenaires du programme attendent avec impatience les recommandations de la réunion et leur mise en oeuvre par les pays.
Le tout nouveau et ancien ministre de la Santé, le ministre d'Etat Alain Yoda, en ouvrant les travaux de la rencontre, a estimé que la prise en compte de l'onchocercose dans les systèmes de santé est essentielle dans les pays en phase de lutte active contre cette maladie négligée et reste aussi nécessaire dans ceux qui mènent des activités résiduelles de lutte. Pour le tout nouveau ministre burkinabè de la Santé, la mise en oeuvre commune des actions de lutte contre des pathologies différentes ouvre une nouvelle voie pour le contrôle des maladies tropicales.
Il est à signaler que le TIDC dont la rencontre veut intégrer les activités dans les systèmes nationaux de santé est utilisé par 120 000 communautés dans 15 pays africains. Selon la directrice de APOC, 60 millions de personnes ont, par exemple, été traitées dans ce cadre à l'Ivermectine en 2005.
S.D
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