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Le soleil | Sénégal | 14/06/2007 | Lire l'article original
Plusieurs maladies comme le syphilis, l’hépatite B, le VIH/SIDA sont dépistés. Près de 12% du sang collecté ne sont pas utilisés. Cette démarche sélective répond au souci de préserver la santé des receveurs. Le Centre tient aussi à la protection de la santé des donneurs. Ceci se traduit par l’utilisation des matériels à usage unique et au respect strict de la procédure de prélèvement. « Il n y a aucun risque en venant donné son sang », a affirmé le docteur Saliou Diop. Mais comme l’a souligné le professeur Daouda Thiam le premier critère de sécurisation c’est la disponibilité du sang. En effet, la récurrence de la pénurie est monnaie courant au centre de transfusion sanguine.
Le recrutement des donneurs volontaires, leur fidélisation, et la décentralisation des structures de collectes sont, entre autres, les stratégies développées pour parer aux pénuries. Mais, il faut en amont, encourager l’utilisation judicieuse de ce liquide précieux. « L’utilisation rationnelle du sang par les hôpitaux est à encourager. Il faut continuer de développer les alternatives à la transfusion et ne réserver le sang qu’à ceux qui en ont vraiment besoin », a préconisé le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Prévention médicale. Au Sénégal, seuls 40.000 dons sont réalisés alors que les besoins réels sont évalués à 200.000.
I. SANE
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