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Revue de presse de Santé tropicale

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Les médecins disent non aux cartes d’assurance

L'Express | Maurice | 14/07/2007 | Lire l'article original

Les docteurs rejettent le système actuel de cartes d’assurance maladie. Ils proposent des alternatives, comme une carte de crédit plafonnée. Les «anomalies» de la carte d’assurance qui assure le paiement après admission du patient, exaspèrent encore les médecins. Le Public Relations Officer de la Private Medical Practioners Association (PMPA), le Dr Zouberr Joomaye, soutient que les «médecins rejettent en bloc l’actuel système». Les médecins avaient donné un délai d’un mois aux assureurs pour trouver un accord. C’était lors de leur mobilisation, il y a trois semaines. En contrepartie, dans un mémorandum qu’ils font circuler, ils proposent des alternatives.

Quelque 125 000 patients ont des polices d’assurance maladie. Les compagnies d’assurances qui proposent le système de carte pour ces polices sont la Mauritius Union, Albatros, la Prudence, Swan, et Administration and Consultant Ltd.

La carte d’assurance actuelle propose aux assurés d’être admis en clinique mais que l’assurance effectue le paiement par la suite. Zouberr Joomaye avait avancé que les problèmes liés à cette carte étaient multiples : retard de paiement, lourdeurs administratives, contrôle. «Nous ne sommes pas des organismes de crédit pour financer les activités des assurances.»

En revanche, Sylvain Pascal, un des fondateurs d’une nouvelle association pour les assurances maladie, soutient qu’«il n’y a eu des retards de paiement que dans quelques cas. A Administration and Consultant Ltd, qui gère des fonds d’assurance maladie, nous avions un contrat avec les cliniques, pour payer en cinq jours. Mais les médecins, dès le départ, s’étaient retirés de ce contrat. D’où certains retards. Cependant, mes confrères et même ma compagnie s’assurent que ces paiements se font en un mois».

Dans le mémorandum, les médecins proposent un système de carte de crédit plafonnée à la limite de la couverture. De ce fait, le patient paie la totalité des honoraires au moment de sortir de la clinique. «Nous allons faire part aux assurances de cette proposition qui devra plaire à toutes les parties concernées», précise le Dr Joomaye.

Secret medical

Mais, dit-il, «nous allons donner notre rapport médical. Bien qu’à ce niveau, nous pensions que le secret médical doit être respecté». A cela, Sylvain Pascal répond que «cette pratique existe ailleurs, où la nature du traitement est mise avec exactitude sur le dossier. Nous avons également des normes de confidentialité».

Il explique que lors des discussions avec les médecins, «des points ont été soulevés, que nous considérons». A titre exemple, les assurés modifieront leur paiement. Actuellement, si quelqu’un entre à la clinique lundi et sort mardi après-midi, «nous payons une seule nuitée. Maintenant, on nous demande de voir comment payer deux jours». De plus, à un moment, à la demande des médecins, «nous avons eu deux catégorisations, les mild and severe conditions. Nous payons pour celui qui a un problème mineur lié au diabète et un coma diabétique différemment. Mais nous pourrions étudier davantage cet aspect».

Lors de la mobilisation, il y a trois semaines, un des médecins présents, le Dr Serge Maurice, avait pris une position radicale, précisant que le médecin ne doit pas négocier avec les assureurs. Cependant, pour Zouberr Joomaye, «il est un médecin d’expérience et son point de vue ne peut être négligé. Mais nous avons à tenir compte de l’ensemble des points de vue. Nous souhaitons un consensus de l’ensemble du corps médical, qui souhaite faire des propositions aux assureurs, pour que toutes les parties sortent gagnantes». Il demande par ailleurs que des personnes spécialisées s’occupent des polices maladie car ce sont des données techniques qui nécessitent une certaine maîtrise.

Jane L. O’NEILL

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