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Cameroon tribune | Cameroun | 07/11/2007 | Lire l'article original
Le scanner de l’hôpital Laquintinie dont dépend du reste la polyclinique d’Akwa est en panne, dit-on aux proches du patient. Un coup de fil à l’hôpital général de Douala permet de savoir que de ce côté également, le scanner ne fonctionne pas depuis quelques semaines. Dans la foulée, un centre privé situé à Bonapriso est sollicité. Rien. Finalement, c’est dans une importante clinique de Bonanjo que la famille Lissouck trouve un scanner en bon état de fonctionnement. Selon les responsables de cette clinique, l’utilisation et l’entretien d’un scanner supposent un déploiement de grands moyens matériels au coût élevé. « C’est un appareil qui doit être protégé des chutes de tension dues aux coupures de courant », confie un médecin. C’est pour cela que ce scanner appelé Gantry, doté d’un lit coulissant et d’un coffre à haute tension avec transformateur jouxte un panel de contrôle qui accueille les informations. La température dans la salle ne doit pas dépasser les 26°C tandis que l’humidité n’atteint pas les 60%.
Benjamin LISSOM LISSOM
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