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Le nouveau réveil | Côte d'Ivoire | 08/11/2007 | Lire l'article original
Dans cet élan, il a annoncé des contributions nationales et internationales, qui permettront de cerner l'environnement politique et juridique de l'évolution des établissements privés de santé, l'aspect organisationnel du secteur et surtout le mécanisme de financement. Ce qui permettra de relever, en même temps, les limites et les difficultés à surmonter pour une médecine privée performante et compétitive. Lui emboîtant le pas, le président de l'ACPCI Boguifo Joseph, a relevé que ce colloque est "le début du changement".
Il a ensuite fait le constat que depuis la libéralisation des tarifs sanitaires en 1995, le désordre s'est installé dans le secteur et même les tentatives d'immatriculation des cliniques et établissements de santé privés n'y ont rien changé. C'est pourquoi, il a sollicité le soutien de l'Etat par des allègement fiscaux, la réduction des droits de douane et surtout l'institution d'un fonds d'aide à l'installation. Le président de l'ordre des médecins Aka Kroo Florent le représentant résident de l'OMS Komlan Siamevi et le président du Syndicat des médecins privés de Côte d'Ivoire ont apporté leur soutien à l'ACPCI.
Le ministre Allah Kouadio Remi n'a pas caché sa fierté devant l'initiative de l'ACPCI et surtout pour le choix juridique du thème : "il s'agit de faire en sorte que tous bénéficient de l'assistance médicale dont leur santé a besoin", a-t-il dit. Et a promis une meilleure intégration du secteur privé de la santé au secteur public. La visite des stands a mis fin à la cérémonie d'ouverture de ce 1er colloque qui ferme ses portes le 09 novembre.
KONAN FRANÇOIS
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