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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 04/09/2008 | Lire l'article original
Raison pour laquelle, le service minimum continue à être observé avec tout ce que cela comporte comme inconvénients dans le tri des dossiers aux urgences et exigences de certains vieux cas internés.
Un des responsables d’un des grands hôpitaux de Kinshasa ayant requis l’anonymat s’est exprimé en ces termes : « Jusqu’à présent, aucun médecin n’a touché à cette fameuse enveloppe. Le service minimum continue à être assuré. Mais ce service n’est pas de nature à arranger les choses quand on se retrouve devant de nombreux cas. C’est la population qui paie le prix. »
Quant aux informations faisant état de distribution de lopins de terre à N’Sele aux médecins , dans le cadre des avantages sociaux susceptibles d’atténuer la souffrance du corps médical, ce même responsable a réagi : «Qu’on cesse de faire de l’amalgame. Comment un projet initié par l’Inspection provinciale de la Santé pour les agents de l’Etat oeuvrant dans le secteur de la santé (médecins, infirmiers et paramédicaux) qui le désirent et qui en ont les moyens peut, présentement être imputé au gouvernement qui n’en connaît ni les tenants ni les aboutissants ?»
« Si la situation est telle qu’elle se présente à Kinshasa, qu’en serait-il de l’arrière pays ? », s’interrogent les observateurs avertis.
Le gouvernement est donc invité à prendre ses responsabilités, même si le front social gronde de partout.
Pour évaluer la situation, nous avons cherché en vain à joindre un des responsables du Synamed/Kinshasa. Ce n’est que partie remise.
Par Hilaire kayembe
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