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Destination Santé | France | 08/09/2008 | Lire l'article original
Mais « c’est leur multiplication en nombre qui a suscité l’intérêt des chercheurs » précise l’INSERM. Et cette question : le processus est-il lié à un contexte génétique ? La réponse est oui, les résultats mettant en cause une mutation anormale d’un récepteur de la prolactine. Une hormone qui intervient notamment « dans le développement du tissu mammaire dès la puberté » poursuit l’INSERM.
La mutation rendrait la prolactine active en permanence, induisant une stimulation
continue de la croissance des cellules mammaires. Pour les auteurs, « il est
désormais important de savoir si cette anomalie représente un nouveau marqueur
dans une pathologie comme le cancer du sein »…
Source : INSERM, 8 septembre 2008
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