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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 23/09/2008 | Lire l'article original
Toutes ces personnes ont difficile à accéder aux anti-rétroviraux. Cela, à cause du déficit en approvisionnement. En plus, le district ne dispose d’aucune centrale de distribution régionale de médicaments essentiels. D’où, le problème de prise en charge se pose avec acuité. Les actions de deux programmes de lutte contre le Sida, en l’occurrence, le PNMLS et le PNLS, sont moins perceptibles. Pour le médecin inspecteur provincial, le Dr. Josué Mwamba, il faut qu’on arrive à inverser la tendance. « C’est dans les grandes villes où sont prés positionnés tous les grands partenaires ancestraux qui interviennent dans la lutte. Je crois que, maintenant, le moment est venu pour que tous ces partenaires descendent placer leurs sous bureaux en milieu rural où nous avons un excès de morbi-mortalité dû au Sida », a-t-il suggéré. Outre ces raisons, l’inaccessibilité du district du Sankuru ne favorise pas un véritable accompagnement des prestataires de cette partie du pays, signale la même source. Le taux de séroprévalence est estimé à 4,1% pour l’ensemble du pays, et de 5,9 pour le Kasaï Oriental.
Par Véron-Clément Kongo
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