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Notre Voie | Côte d'Ivoire | 05/12/2008 | Lire l'article original
Pour matérialiser donc cette volonté, les experts de la communauté scientifique dont des Européens et des Américains, misent sur “les actes du gouvernement” existants désormais. C'est-à-dire les “4 décrets et les deux arrêtés subséquents aux textes juridiques” que sont “la loi de 1993 et le décret de 1991”. Ces dispositions, en effet, sont relatives aux substances thérapeutiques d'origine humaine, portant création, attribution, composition et fonctionnement du Centre national de transfusion sanguine (CNTS).
Le sentiment de ceux qui viennent de se réunir à Yamoussoukro, c'est que “les
textes juridiques sont désormais plus étoffés”. Avec le travail abattu sur “la
politique nationale, les textes du gouvernement et l'analyse sur le code des
bonnes pratiques en matière de transfusion sanguine”.
Fort de ces résultats, le directeur du CNTS est formel. “Nous soumettrons les
travaux de ces réflexions au ministre de la Santé. Pour bâtir sa politique transfusionnelle
future dans le plan national de développement sanitaire (PNDS)”. Ce n'est pas
tout. Dr. Seydou Konaté a eu également des mots tendres à l'endroit des experts
d'ici et d'ailleurs contribuant au combat de l'excellence.
Le préfet de région Dakoury Sanon, clôturant le panel, lui, espère bien qu'avec ce nouveau rendez-vous, le calvaire du passé sera un lointain souvenir. Cette triste situation donnant souvent lieu à “des surenchères et trafics dégradants et intolérables” aux préjudices des populations.
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