En tout cas, ces PVVIH sont reconnaissants envers l’Etat qui, selon eux, « a fait des efforts afin de résoudre le problème de rupture en ARV et en réactifs pour l’analyse biologique ». «Nous souhaitons quand même que ses attentions à notre égard ne se relâcheront plus au nom de l’amélioration de la santé et du bien-être des PVVIH. Et ce, puisque l’accès universel aux soins et aux traitements devraient être primordiaux pour un pays qui lutte contre le vih/Sida », déclarent unanimement la vingtaine de personnes vivant avec le VIH/Sida sous antiretroviraux réunis au sein de MITA.

Vola Andriamanana

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