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El Moudjahid | Algérie | 03/07/2006 | Lire l'article original
Une bonne nouvelle car lorsqu’elles cohabitent, ces deux infections se renforcent mutuellement. D’après le dernier rapport mondial sur le paludisme, dans certains pays d’Afrique « le paludisme est une des principales causes de mortalité chez les patients qui souffrent aussi du VIH-SIDA ».
Aux CDC d’Entebbe en Ouganda, le Dr Jonathan Mermin et ses collègues ont testé l’efficacité de l’association de deux traitements et d’une stratégie de prévention chez 1 000 patients infectés par le VIH. Par rapport à une absence de traitement, l’association d’antirétroviraux, d’antibiotiques (cotrimoxazole) et de moustiquaires imprégnées permettrait de diminuer l’incidence du paludisme de 95% chez des patients adultes infectés par le VIH. Contre «seulement» 76% avec les antibiotiques seuls, et tout de même 92% avec l’association antibiotiques-antirétroviraux. Pour expliquer l’effet bénéfique des antirétroviraux sur l’infestation paludique, l’auteur suggère qu’il « est probablement plus lié au renforcement du système immunitaire qu’à une action directe sur la maladie».
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