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Un nouveau cas de maladie à virus Ebola a été confirmé aujourd'hui à Beni, en République démocratique du Congo (RDC).
Recommandations de l'OMS lorsque vous voyagez à destination ou en provenance des pays touchés par Ebola
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Avant votre départ, il convient de :
Sources : France diplomatie
Brut, consacre une série documentaire aux ravages du virus Ebola en RDC
Episode 1
Episode 2
Episode 3
*selon l'Institut de veille sanitaire
1. | Le virus Ebola n’est pas naturellement présent en Europe. A ce jour, aucune personne ne s’est jamais infectée en dehors du continent africain. |
2. | Les personnes infectées ne peuvent pas transmettre le virus avant le début des symptômes. |
3. | La transmission du virus nécessite un contact physique rapproché avec une personne infectée présentant des symptômes ou un contact avec des surfaces souillées par les liquides biologiques de la personne (vomissements, linge par exemple). |
4. | Le virus Ebola n’est pas transmis par voie aérienne comme la grippe (dans les transports en commun, par exemple), ni par des vecteurs tels que les insectes. |
5. | La durée d’incubation de la maladie (période entre la contamination et le début des symptômes) est habituellement de quelques jours mais peut durer jusqu’à 3 semaines. |
6. | Les hémorragies ne sont pas présentes au début de la maladie, mais peuvent apparaître au bout de quelques jours, quand la maladie évolue. |
7. | Le virus est détruit par les solutions hydro-alcooliques (pour la peau) et par l’eau de javel diluée à 0,5% (pour les surfaces). |
8. | Il n’existe à ce jour pas de vaccin ni de médicaments spécifiques d’efficacité prouvée contre l’infection. |
9. | Il n’existe pas de moyen permettant de dépister ou de diagnostiquer l’infection avant le début des symptômes. |
10. | La prise en charge des personnes malades le plus tôt possible après le début des symptômes augmente les chances d’évolution favorable de la maladie. |
La flambée épidémique de maladie à virus Ebola (MVE) se poursuit en République démocratique du Congo, avec un nombre relativement élevé de cas signalés ces dernières semaines (Figure 1) et quelques signes encourageants. Les zones de santé de Katwa et de Butembo en demeurent les épicentres, représentant 71 % des cas signalés au cours des trois dernières semaines, tandis que des groupes dispersés de cas, de plus petite taille, sont observés parallèlement.
Le Ministère de la santé, l’OMS et leurs partenaires continuent de lutter contre une flambée de maladie à virus Ebola, malgré les problèmes de sécurité persistants et la méfiance des communautés, qui freinent les mesures de riposte. Au cours des dernières semaines, le nombre de cas notifié a été relativement élevé (Figure 1), en particulier en raison de la flambée dans la zone de santé de Katwa, où se déroulent actuellement des activités de riposte à grande échelle. Des grappes moins importantes continuent d’être notifiées en dehors de la zone de santé de Katwa, notamment à Beni et Oicha ; néanmoins, les équipes sont systématiquement intervenues au plus vite face à ces grappes afin de prévenir d’autres transmissions et de limiter l’expansion géographique de la flambée. Les équipes travaillent en outre activement afin de renforcer la confiance et la participation des communautés dans toutes les zones touchées.
Le Ministère de la santé, l’OMS et ses partenaires continuent de faire face à des difficultés pour confiner et maîtriser l’épidémie de maladie à virus Ebola (MVE) en République démocratique du Congo. Le nombre de cas notifiés a augmenté au cours des dernières semaines, surtout dans la zone sanitaire de Katwa où les équipes d’intervention ont été confrontées à des poches de méfiance au sein de la communauté. L’épidémie s’est également étendue vers le sud jusqu’à la zone sanitaire de Kayina, un secteur à haut risque pour la sécurité. Les équipes travaillent activement à renforcer la confiance de la communauté et à intensifier les activités de riposte autour de ces nouvelles grappes.
Le Ministère de la santé, l’OMS et les partenaires continuent de riposter à l’épidémie de maladie à virus Ebola (MVE) qui sévit actuellement dans un contexte particulièrement complexe. Un nombre élevé de cas continue d’être notifié, en particulier dans les secteurs métropolitains de la zone sanitaire de Katwa au cours de la semaine dernière. La baisse de l’incidence des cas se poursuit à Beni ; il s’agit là d’une indication positive de l’efficacité de la riposte malgré de multiples difficultés à surmonter.
L’OMS et ses partenaires continuent de riposter à l’épidémie de maladie à virus Ebola (MVE) dans l’un des contextes les plus complexes qui soit. Une baisse de l’incidence des cas a été observée à Beni, l’ancien épicentre. Il s’agit là d’une indication très positive de l’efficacité de la riposte malgré les multiples difficultés à surmonter. Toutefois, à Beni et ailleurs, l’évolution observée doit être interprétée avec prudence, car on s’attend à ce que la détection des cas soit retardée à la suite des perturbations temporaires récentes des activités de riposte dues à l’insécurité. Néanmoins, l’OMS et ses partenaires demeurent déterminés, sous la direction du Gouvernement et grâce à la collaboration entre les organismes, à relever les défis et à mettre fin à cette épidémie.
La riposte de l’OMS et des partenaires à la flambée de maladie à virus Ebola (MVE) en cours se poursuit malgré les perturbations subies par des services essentiels en raison de problèmes d’insécurité à Beni et Butembo au cours de la récente élection le 30 décembre 2018. Afin de garantir la sécurité de l’ensemble du personnel déployé et à titre de précaution, les opérations ont été réduites pendant quelques heures le jour de l’élection. Les opérations normales ont intégralement repris à partir du 1er janvier 2019. Après une intensification des activités sur le terrain, nous observons des signes encourageants dans de nombreuses zones, y compris une baisse récente du nombre des cas à Beni. Nous pourrions perdre cependant les bénéfices des progrès durement acquis à cause d’une recrudescence de la transmission résultant de période prolongée d’insécurité freinant les efforts pour endiguer la maladie.
La République Démocratique du Congo (RDC) a notifié une épidémie de maladie à virus Ebola (MVE) le 1er août 2018 dans la province du Nord-Kivu, située dans la partie Est du pays. Ce document fait le point de la situation épidémiologique en date du 16 septembre 2018 sur la base des données et informations disponibles au terme d’un mois de mise en œuvre des mesures de santé publique.
La dixième épidémie de la maladie à virus Ebola (MVE) en République Démocratique du Congo (RDC) a été notifiée par le Ministèrenationalde la Santé Publiqueàl’OMS le 1eraoût 2018.Les mesures de riposte sont mises en œuvre afin de contenir l’épidémie qui continue d’évoluer dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri. La survenue de la MVEchez une personne vaccinéeappelle à anticiper le risque de propagation de message erroné à la suite d’une mauvaise interprétation du rôle du vaccin dans la prévention de la maladie.
La flambée de maladie à virus Ebola (MVE) en République démocratique du Congo reste active. Le 3 juin 2018, six nouveaux cas suspects de MVE ont été notifiés dans les zones sanitaires de Bikoro (5) et de Wangata (1). Trois échantillons de laboratoire (prélevés sur des cas suspects notifiés le 2 juin 2018) se sont révélés négatifs à l’issue des tests. Aucun nouveau cas confirmé de MVE ni aucun décès n’a été notifié depuis notre dernier rapport de situation, du 1er juin 2018.
La flambée de maladie à virus Ebola (MVE) en République démocratique du Congo reste active. Le 30 mai 2018, un nouveau cas confirmé de MVE a été notifié à Iboko. Trois échantillons de laboratoire (prélevés sur des cas suspects notifiés précédemment dans les zones sanitaires d’Iboko (2)et de Wangata (1)) se sont révélés négatifs à l’issue des tests. Il n’y a eu aucun nouveau cas suspect ni aucun décès.
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