Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



Cooper - 3 mars 2024 : journée mondiale de l'audition - Plus d'informations

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

Articles médicaux de Santé tropicale

Publié dans Médecine d'Afrique Noire 4510 - Octobre 1998 - pages 581-584

Contacter Professeur Kampadilemba  Ouoba Les kystes et fistules congénitaux du cou. Prévalence, présentation clinique et constatations per-opéatoires. A propos de 160 cas et revue de littératurenote

Auteurs : OUOBA K., DAO M., CISSE R., KABRE M., SAKANDE B., SANOU A. - Burkina Faso


Résumé

Il s'agit d'une étude rétrospective des dossiers de malades présentant un kyste ou une fistule congénitale du cou reçus en consultation dans le service ORL du CHU de Ouagadougou entre 1986 et 1995.
Nous avons voulu apprécier la prévalence et analyser la présentation clinique de cette pathologie malformative dans le service. Les kystes et fistules congénitaux du cou nous ont paru relativement fréquents en consultation ORL au CHU de Ouagadougou (0,5 % des consultants). Ils ont été dominés dans la présente série par les fistules pré-hélicéennes (56,2 % des cas) ; venaient ensuite les kystes et fistules médianes (33,2 % des cas) et les anomalies des fentes branchiales 10,6 % des cas. C'est une pathologie qui s'est exprimée dans la majorité des cas dans l'enfance 95 % des cas ; 63,8 % des cas ont été observé avant l'âge de 4 ans. Dans nos conditions de travail, ils ont été assez souvent découverts à l'occasion d'une complication infectieuse (18 % des cas). L'échographie a été un examen complémentaire de choix. Les récidives constatées ont été le fait d'une exérèse incomplète. La compréhension de la clinique et des bases de la cure chirurgicale de cette pathologie malformative passe par une bonne connaissance de l'embryologie de l'extrémité céphalique.

Cet article est actuellement coté note (1,0 étoiles) par les abonnés de Médecine d'Afrique Noire.
Il a été consulté 2676 fois, téléchargé 20 fois et évalué 1 fois.  Aucun commentaire n'a encore été ajouté à propos de cet article

icone adobe Obtenir l'article intégral en PDF

Plus de résumés d'articles - Plus d'articles en texte intégral

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions

En septembre 2024 :

img_produit

img_produit

Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

Vidéo formation

Espace formation Pierre Fabre

vig_webinar15
Prise en charge du paludisme en ASS : Place de la DHA – PQP - Pr Issaka SAGARA et Pr Mahamadou A THERA

encart_diam_cooper
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays



CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !